HISTOIRE DE LA COLONISATION ARABE EN ALGERIE.


Grandes lignes

Principales dates

De l'an 681 à 710, les hordes de fanatiques musulmans, suivies de treize tribus, venant d'Arabie, déferlèrent sur I'Afrique du Nord et l'Algérie, la saccagèrent et islamisèrent par la violence et par la terreur, les populations Berbères.

Les Berbères Kabyles, insoumis, hostiles à l'invasion arabe, abandonnant leur Terre, se réfugièrent, se retranchèrent dans les montagnes et les autres ethnies Berbères, s'enfuirent, se dispersèrent, dans les régions arides ou désertiques, Sud Algérien ou Tunisien.

Les Arabes, poussés par leurs besoins de rapines, de pillages, stimulés par leur fanatisme, firent des incursions, sur les rivages méditerranéens, ravageant, massacrant ces " chiens de chrétiens " et également écumèrent la Méditerranée, arraisonnant ou capturant les navires, les hommes pour les mettre en esclavage, les femmes pour assouvir leur plaisir.

Les femmes, étaient mariées de force, ou cloîtrées dans les harems, ou jetées dans les bordels, ou violées sans répit, voire lapidées. Les hommes indociles, subirent bastonnades ou flagellations ou sodomisés ou croupirent dans des geôles immondes ou brisés dans I'esclavage. Les Berbères soumis, mais rebelles à l'islamisation, ainsi que les prêtres ou pasteurs, ne voulant renier leur foi chrétienne, furent amputés des mains ou émasculés ou empalés.

En 1515, Ferdinand V d'Aragon, s'empara d'Oran, Mers el Kébir, peuplées d'arabes, chassés d'Espagne en 1492, de Bougie, de l'îlot du Pénon, face à Alger, qui avec ses canons, lui permit de prendre cette ville, de libérer les esclaves dont Cervantès, mais que le pirate Barberousse avec l'aide des turcs, après la mort de Ferdinand en 1516, reprit.

En 1541, Charles Quint avec 100 navires et 30.000 hommes, arriva devant Alger, débarqua à Cap Matifou, mais une formidable et terrible tempête, dispersa et submergea la flotte et les arabes, les turcs commandés, par le frère de Barberousse, achevèrent d'anéantir les Espagnols.

Les arabes, étant invaincus, se sentant invincibles, transcendés, dans leur croyance en Allah, avides, insatiables de butins, de captures, reprirent leurs incursions, leurs exactions leurs crimes, notamment contre la France, devenue alors puissante, omniprésente en Méditerranée.

En 1798, une créance de 14 millions de francs, due par la France, à deux juifs d'Alger, pour des fournitures de blé, à Napoléon 1er, les rapports entre le gouvernement français et le dey d'Alger, s'envenimèrent, s'amplifièrent, car ce dernier réclamait et exigeait ce paiement

En 1817, un Traité, rendit à la France, la jouissance du petit port de La Calle, contre une redevance de 60.000 francs, fut trois ans après élevée à 200.000 francs.

En 1818, un navire français fut pillé par des "barbaresques" à Bône.

En 1823, La Maison Consulaire de France de Bône fut violée et pillée par la population

En 1827, des navires romains, portant PaviIIon Français, en vertu de la protection accordée au Vatican par la France furent capturés et des marchandises françaises furent saisies à bord de navires espagnols, malgré le Traité, qui établissait que le Pavillon Français, devait couvrir la marchandise et que celle-ci, sous tous les pavillons été, inviolable.

En 1827, suite aux négociations, au sujet de la créance de blé, le Consul Deval, reçut un d "éventail " du Dey, qui tira un coup de canon, sur la Navire Français Parlementaire.

Les Français, excédés, exacerbés par tant de malveillance, d'hostilité, 1 "Honneur " outragé prenant de vitesse les anglais, débarquèrent le 14 Juin 1830 à Sidi Ferruch, prirent à revers Alger le 5 Juillet 1930, mettant ainsi Fin, à la piraterie, à l'esclavage, à la désastreuse et funeste occupation, colonisation arabe de l'Algérie.

La dure Vérité, de cette colonisation est, que tout au long des siècles de domination I'Islam , contrairement en Espagne, n'a rien produit, rien construit, rien apporté, rien prévu ) Dans tous les domaines techniques, scientifiques, culturels à l'Algérie.

Tout était à faire, routes, chemins de fer, ponts, viaducs, barrages, écoles, collèges lycées Facultés, bâtiments, édifices, établissements, services publics, agriculture archaique; économie négative, machinisme, industrie inexistants.

Les Nations chrétiennes, surtout méditerranéennes, étaient soulagées, rassurées, apaisées remercièrent la France et lui témoignèrent leur reconnaissance, leur gratitude.

Extraits du Livre de Mr Evariste Bavoux, pubïié en 1841, Editeurs Brockhaus et Avenarius Rue Richelieu, Paris: Alger - Voyage politique et descriptif dans le Nord de I'Afrique.


Retour ............Suite. ...............Acceuil